Co-fondatrice de l’observatoire international de la violence scolaire, Catherine Blaya, ariégeoise d’origine, animait une conférence à l’Estive sur cette thématique.
Cette conférence s’intégrait à une soirée projection-rencontre proposée en partenariat avec l’Estive et la Maif. «Il est vrai qu’en France, il a fallu attendre la moitié des années 2000 pour s’intéresser réellement au phénomène. Ici c’est une préoccupation récente par rapport aux autres pays européens qui en parlent depuis les années 1970» reconnaît la chercheuse.